31 Jan Qui suis-je pour t’aimer?
Synopsis
INFOS
Édité par @editions_kana_officiel
Série terminée ( 3 🇫🇷 / 3 🇯🇵 )
Autrice 𝗬𝘂̂𝗸𝗼 𝗜𝗻𝗮𝗿𝗶
Prix du tome : 7,10€
Mon avis
Le troisième et dernier tome de 𝐐𝐮𝐢 𝐬𝐮𝐢𝐬-𝐣𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐭’𝐚𝐢𝐦𝐞𝐫 ? vient de sortir, l’occasion d’avoir un point de vue sur l’histoire globale mais surtout sur sa fin.
Après le rapprochement significatif entre Honatsu et Tôma, le tome 3 revient, dans sa première partie, sur le mystère qui englobe le passé de l’héroïne. La personne qui va lui dévoiler les détails de ces événements est nul autre que Shun.
Durant ce moment flashback, on découvre une partie de l’enfance de nos héros, avec bien entendu la présence du père de Honatsu. Tôma essaie déjà de se rapprocher de Honatsu mais cette dernière n’a pas du tout le même tempérament avec un côté plus franche/directe.
Bien entendu, le point clé arrive durant un événement où malheureusement le père de la protagoniste perd la vie. Tôma et Shun assistent impuissant à ce drame qui les marquent profondément. C’est d’ailleurs la raison principale pour laquelle ils ont décidé de garder le « secret », afin de ne pas remémorer de mauvais souvenir à Honatsu.
Le récit principal prend tout son sens dans la première partie du tome 3 avec l’introduction du père de Honatsu et nos « héros » version enfants, ajoutant un petit côté mignon. La seconde est dédiée à la fin qui est convenable mais plutôt prévisible. Une fin qui arrive assez vite car comme l’indique l’autrice, sa série devait se terminer plus vite que prévue…
Le style graphique est toujours aussi satisfaisant, tendant plutôt sur des tons clairs, il va clairement se ternir lors de l’événement tragique et des séquences plus émotives/tristes.
conclusion
𝐐𝐮𝐢 𝐬𝐮𝐢𝐬-𝐣𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐭’𝐚𝐢𝐦𝐞𝐫 ? est un manga en 3 tomes avec une histoire plutôt complète, dévoilant finalement toute son intrigue dans le dernier tome. La lecture est agréable, le style graphique est plutôt réussi dans l’ensemble et on veut absolument connaître la raison de la perte de mémoire de Honatsu. Malgré que la série soit écourtée, la fin, bien que classique, reste tout de même convenable et répond à la plupart des questions que l’on se pose en tant que lecteur. On en ressort satisfait, même si ce n’est probablement pas « la » série qui marquera les esprits.