17 Nov DreaMaker – Tome 2
Synopsis
Les rêves, seuls remparts face aux ténèbres !
Après avoir arraché Kiio aux griffes de son père, le Créateur espère lui changer les idées en l’emmenant à Lugdunum, dans la boutique atelier de sa collègue Alya. Mais sa venue n’a rien d’une visite de courtoisie : en effet, à Condate, tout comme dans la Ville des Lumières, plusieurs personnes présentent les symptômes d’une étrange maladie qu’on pensait disparue depuis longtemps…
Tandis que les DreaMakers se réunissent en secret pour déterminer la marche à suivre, le jeune garçon turbulent, livré à lui-même, fait le tour du propriétaire, émerveillé par tous les objets qu’il voit… Hélas, des yeux le surveillent et, bientôt, une ombre inquiétante fond sur lui ! Parviendra-t-il à se tirer de ce mauvais pas ?
Entrez dans le monde magique de Zilo, lauréate du Tremplin Ki-oon ! La jeune autrice déroule un récit à la fois tendre et profond, véritable ode au pouvoir de l’imaginaire. Choyez vos rêves et votre âme d’enfant, ce sont vos biens les plus précieux !
INFOS
Édité par @ki_oon_editions
Série en cours (2 🇫🇷 )
Manga @zilo.art
Prix du tome : 7,95€
Mon avis
𝐃𝐫𝐞𝐚𝐌𝐚𝐤𝐞𝐫 reprend là où le précédent tome s’était arrêté… Du moins, après une première partie dédiée à développer la menace grandissante au sein de son univers. En effet, à Condate, tout comme dans la Ville des Lumières, de nombreuses personnes présentent les symptômes d’une étrange maladie qu’on pensait disparue depuis longtemps… Une maladie qui mène à une mort certaine !
Après cette introduction, l’histoire se recentre un peu plus sur Kiio, qui fera la rencontre du disciple d’Alya. Ensemble, bien que cela soit normalement impossible, ils assisteront à une partie du conseil des DreaMakers. Notre héros finit par s’enfuir pour rejoindre de nouveau son domicile familial, sans se douter du danger qui l’attend !
Le récit a un rythme plutôt étrange vis-à-vis du précédent tome. Ici, on développe avant l’univers, pour nous présenter le disciple d’Alya et enfin revenir à Kiio. Plusieurs scènes dédiées à la culture populaire sont présentes. Elles font certes sourire mais le fait qu’elles s’enchainent, m’a plus perdu qu’autre chose… De plus, cela donne l’effet de ne pas avancer dans l’histoire, alors qu’en comparaison, le conseil des DreaMakers, qui pose finalement l’intrigue principale (ou expose réellement la menace), ne représente que quelques pages.
Point toujours aussi indéniable, la qualité graphique du titre est toujours présente. Mention spéciale au design du disciple d’Alya, un vrai régal visuel !
conclusion
Après une très jolie introduction, ce second tome de 𝐃𝐫𝐞𝐚𝐌𝐚𝐤𝐞𝐫 stagne un peu. Kiio revient plus ou moins à son point de départ, donnant l’impression de tourner un peu en rond au niveau de l’avancée du récit. Heureusement, la patte graphique reste toujours de haute volée et la fin du tome laisse présager un tome 3 beaucoup plus dynamique. Reste à savoir si tout ce potentiel sera exploité dans le prochain tome !